L’esthétique moderniste à Tarragone
Ce guide prétend nous rapprocher d’une partie de l’héritage moderniste présent dans la ville et qui à besoin de la complicité du visiteur pour y découvrir toute sa poétique et sa beauté. Au moyen de cet itinéraire on peut entrevoir les lignes, les préférences et la société qui accueillit aussi l’esthétique moderniste pour qu’elle garnisse, entre autres, ses maisons, ses endroits de loisir ou de travail ou ses objets de culte.
ll s'inscrit à Tarragone à partir de la fin du XIXe siêcle et presque jusqu'au premier tiers du XXe siêcle, suite à une certaine relance économique et au cadre idéologique de la Renaissance. Josep Maria Jujol est I'auteur du Théâtre Metropol, de la Maison Ximenis, de la loge de I'église des Pères Carmélites Déchaussés et d'un ensemble d'éléments somptuaires dans l'église de Saint-Laurent de l'Ordre des Agriculteurs.
Josep Maria Pujol de Barberà est l'architecte avec le plus grand nombre d'oeuvres modernistes dans la ville : le Rectorat de l'Université Rovira i Virgili (URV); la Maison Ripoll; les Maisons Bofarull et du Docteur Aleu, toutes situées sur la Rambla Nova; et le marché municipal.
Ramon Salas est l'auteur de sa propre maison, située sur la Rambla Nova, ainsi que de la balustrade du Balcon de la Méditerranée.
II y a également une ceuvre d'Antoni Gaudí comme I'autel et le manifestador (on y expose de mamàre solennelle le custode qui coninent I'hostie) du Sanctuaire de Notre-Dame du Sacré Coeur et une oeuvre sculpturale de Lluís Domànech i Montaner comme le Mausolée de Jaume l.
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